Louis Stanislas de France
comte de Provence
Monsieur frère du Roi
Né le 17 novembre 1755 au château de Versailles
Décédé le 16 septembre 1824 au châetau des Tuileries
Décédé le 16 septembre 1824 au châetau des Tuileries
Dès le lendemain de son installation au Palais du Luxembourg, Monsieur trace un plan de conduite dont il ne s’écarte plus. Il se renferme dans une nullité politique puisqu’il ne peut plus jouer aucun rôle utile à l’Etat.
Monsieur trouve des distractions dans la littérature ancienne : Horace devient son poète favori.
Comme il le faisait depuis l’ouverture des Etats Généraux et depuis son installation, au Palais du Luxembourg, le 6 octobre 1789 et jusqu’au 20 juin 1791, Monsieur continue à recevoir certains membres de l’Assemblée qu’il affectionnait ou dont la société lui était agréable.
Jusqu'au départ de Mesdames, le 19 février 1791, Monsieur leur rend visite dans leur résidence du château de Bellevue.
Monsieur veille à ce que nul, dans sa Maison, évite de se conformer aux idées du jour, remettant à d’autres temps plus heureux une autre direction.
Certains paraissent déplorer que le sort eût fait naître Monsieur, après Louis XVI, et que s’il avait régné à sa place, il aurait sauvé la fortune de la France.
Monsieur donne la bannière au district des carmes déchaussés qui défilera lors de la Fête de la Fédération, le 14 juillet 1790.
Suite aux événements survenus en février, mars et avril 1791, Monsieur s’est remis à monter à cheval dans le cas où il serait obligé de partir précipitamment. Son obésité rend cet exercice pénible. Il s’astreint donc à aller, chaque matin, trotter, avec le marquis d’Avaray, sur le boulevard Neuf.
Monsieur trouve des distractions dans la littérature ancienne : Horace devient son poète favori.
Comme il le faisait depuis l’ouverture des Etats Généraux et depuis son installation, au Palais du Luxembourg, le 6 octobre 1789 et jusqu’au 20 juin 1791, Monsieur continue à recevoir certains membres de l’Assemblée qu’il affectionnait ou dont la société lui était agréable.
Jusqu'au départ de Mesdames, le 19 février 1791, Monsieur leur rend visite dans leur résidence du château de Bellevue.
Monsieur veille à ce que nul, dans sa Maison, évite de se conformer aux idées du jour, remettant à d’autres temps plus heureux une autre direction.
Certains paraissent déplorer que le sort eût fait naître Monsieur, après Louis XVI, et que s’il avait régné à sa place, il aurait sauvé la fortune de la France.
Monsieur donne la bannière au district des carmes déchaussés qui défilera lors de la Fête de la Fédération, le 14 juillet 1790.
Suite aux événements survenus en février, mars et avril 1791, Monsieur s’est remis à monter à cheval dans le cas où il serait obligé de partir précipitamment. Son obésité rend cet exercice pénible. Il s’astreint donc à aller, chaque matin, trotter, avec le marquis d’Avaray, sur le boulevard Neuf.
Revenus accordés par l’Assemblée nationale en 1790
• 1 million de rente apanagère
• 1 million de traitement
• 500 000 affectés à ses créances.
• 1 million de rente apanagère
• 1 million de traitement
• 500 000 affectés à ses créances.
Maison de Monsieur, frère du Roi
Maison ecclésiastique
- Premier aumônier et titulaire de la Feuille des bénéfices de l'apanage
- 1789-1791 : abbé d'Argentré
Maison militaire de Monsieur, frère du Roi
Compagnies des Gardes du Corps de Monsieur
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Compagnies des Suisses de la Garde ordinaire du Corps de Monsieur
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