Compagnie des Cent Suisses
La compagnie des Cent Suisses continuent aussi son service auprès du Roi après son installation au château des Tuileries.
La compagnie a a sa tête, comme capitaine-colonel, le duc de Brissac.
Le 7 juin 1790, la compagnie, avec sa tête le duc de Brissac, prête le serment civique en allemand sur la place de l'Hôtel de Ville, en présence de la municipalité de Paris et du commandant général de la garde nationale.
Avec la constitution de la garde constitutionnelle, la compagnie de Cent Suisses est licenciée le 16 mars 1792.
La compagnie a a sa tête, comme capitaine-colonel, le duc de Brissac.
Le 7 juin 1790, la compagnie, avec sa tête le duc de Brissac, prête le serment civique en allemand sur la place de l'Hôtel de Ville, en présence de la municipalité de Paris et du commandant général de la garde nationale.
Avec la constitution de la garde constitutionnelle, la compagnie de Cent Suisses est licenciée le 16 mars 1792.
duc de Brissac, capitaine-colonel des Cent Suisses
Demande de M. Vincent, commandant en chef du bataillon de Saint-Germain des Près, faite au Roi, après son discours à la garde nationale, le 16 mars 1792
La garde nationale, tous les bons citoyens de la capitale apprennent avec douleur et voient avec peine la réforme de la garde des Cent Suisses de Votre Majesté, et à son incorporation dans la nouvelle formation de sa maison militaire.
Réponse de Louis XVI
Je prendrai tous les moyens pour remplacer dans la maison les Cents Suisses réformés, desquels je suis et j'ai été toujours très content.
Je suis très sensible à la démarche que vous faites au nom de la garde nationale parisienne ; mais la Constitution ayant prescrit ma garde, je ne puis y employer la compagnie des Cent Suisses en corps.
La garde nationale, tous les bons citoyens de la capitale apprennent avec douleur et voient avec peine la réforme de la garde des Cent Suisses de Votre Majesté, et à son incorporation dans la nouvelle formation de sa maison militaire.
Réponse de Louis XVI
Je prendrai tous les moyens pour remplacer dans la maison les Cents Suisses réformés, desquels je suis et j'ai été toujours très content.
Je suis très sensible à la démarche que vous faites au nom de la garde nationale parisienne ; mais la Constitution ayant prescrit ma garde, je ne puis y employer la compagnie des Cent Suisses en corps.